L'amas de Nasileus
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Stopper la machine de guerre

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Message  YunYun Sam 4 Avr - 10:46

Comme prévu, il pleuvait. Une pluie forte et torrentielle, qui avait transformé le sol sableux du plateau ciblé en une espèce de boue peu pratique. Invisible, les Devilfish laissèrent leur cargaison de commandos Tau à la limite de la falaise, avant de repartir au loin. La nuit commençait à tomber, le soleil disparaissait à peine à l’horizon. L’obscurité lié à la forte pluie garantissait au moins une bonne discrétion. Le premier camp ork s’apercevait tout juste au loin, une très faible lueur, sans doute dû à du prométhéum, seul combustible inflammable sous l’eau. Devant le groupe Tau, une vingtaine de guerriers du feu en tenue obscure et un peu plus de commandos de l’UHL, s’étendait une large carrière de pierre, parfois clairsemée d’un arbre envahissant paressant mort.

- Les orks font des rondes, suivez-nous, murmura un commando de l’UHL.

Et le groupe s’engagea dans la carrière noire, en direction du camp. Les commandos étaient des experts, vêtus de lourde armure carapace, de casque à visière infrarouge, et pour la plupart, de fusil radiant laser. Ils précédaient les Taus, ouvrant la voie, s’arrêtant régulièrement, ayant visiblement repéré une patrouille ork. Rapidement, ils approchèrent, et se retrouvèrent au pied des pitoyables murs de bois orks. Des miradors avaient poussé à intervalle régulier, et éclairait le sol autour d’eux d’une énorme torche au prométhéum à leur sommet. Quelques gardes passaient doucement de temps en temps.

Un grand bruit émanait du camp. Des rires, des cris, des bruits de métal s'entrechoquant. Vu l'heure, c'était le dîner, le festin. Les orks seraient donc pour la majorité rassemblés à ce qui s'apparente à une cantina. C'était préférable.

- Bien… Des idées ? Demanda un des commandos ?


[ Post introductif, tu racontes tes impressions, tu décris un peu le décor ( tu as une liberté là-dessus ). Tu proposes aussi des solutions pour t’introduire dans le camp et le dépasser. Tu ne dois pas être repéré. ]
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Message  Edorak Dim 5 Avr - 2:38

Lorsque les pieds de Drihon touchèrent le sol, ils s’enfoncèrent légèrement dans le sol marécageux. Comme prévu dans la mission, une vigoureuse pluie s’abattait sur les arbres et sur la tête d’Onbarr. C’était la nuit, et la pluie qui martelait Lok n’améliorait pas la vue du Tau. Néanmoins, ils pouvaient tous apercevoir la lueur du prométhéum ainsi que les cris des Orks; le premier campement vert se dressait devant eux. Les commandos et les Tau de la Caste de Feu regardaient frénétiquement le regroupement d’Ork, on sentait leur haine envers les mastodontes. Mais ils avaient des priorités, dépasser cet assemblée et détruire les usines sans être repéré.

Lorsque toute l’équipe fut regroupée, Drihon, les autres Tau et les commandos ce dirigèrent vers la carrière noire, jusqu'à atteidre finalement la bordure du camp Ork. Bien qu’ils fussent près des misérables habitations, les rires, la pénombre et l’expertise en infiltration des Tau pouvaient garantir la discrétion de ceux-ci. Alors qu’Onbarr regardait les quelques gardes armés de Fling’ et réfléchissant a une quelconque stratégie pour dépasser les camps, il entendit le murmure d’un des commandos derrière lui :

- Bien… Des idées ? Demanda un des commandos.

Quelques Tau dirent quelques grossières stratégies, dépourvut de discrétion, mais Drihon en avait déjà trouvé une en regardant les piètres murs des habitations Ork.

- Monsieur, nous pourrions utilisés la diversion.

Le commando tourna la tête vers lui, le regardant un moment et dit finalement :

- Expliquez-vous.

Onbarr sentit alors tout les regards ce poser sur lui, il regarda une seconde fois les gardes qui passaient, ceux-ci ne ce souciant pas que plusieurs ennemis les épiaient.

- Et bien comme vous l’avez surement vu, les murs des Orks sont faits de bois. Deux d’entres nous pourraient bruler l’une des habitations. Leurs attentions ainsi sur l’incendie, l’équipe pourrait passer subtilement le camp, sans être repérée. Quant aux deux autres, ils n’ont qu’à venir rejoindre les autres avant que l’incendie ne soit majeur. Mais afin de ne pas éveiller les soupçons, les volontaires devront déposer une torche de prométhéum près de l’habitation.

[C'est court, mais c'est un début...]
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Message  YunYun Dim 5 Avr - 10:24

Drihon Onbarr venait de proposer son idée. Personne ne trouvant mieux, ou moins dangereux, le plan fut adopté.

- Bien, on a déjà un volontaire. Un autre ?
- Un volontaire ? Demanda Drihon.
- Vous.

Sans laissez de temps pour contester cette décision, le chef de groupe des commandos désigna un de ses éléments pour accompagner Drihon. La troupe s’éloigna alors, vers l’endroit le plus sûr pour passer avec un maximum de discrétion, derrière la majorité des orks, et entre deux miradors. Le Tau et son coéquipier humain se retrouvèrent donc seule sous la pluie battante. L’inactivité de l’humain fit rapidement comprendre à Drihon qu’il devrait prendre les mesures pour que son plan fonctionne. Il repéra sans mal une tente de vieux tissus humide qu’il pourrait faire brûler. Mais le premier problème se présenta à lui. Comment provoquer l’incendie ?

Les trois sources de prométhéum qu’ils pouvaient apercevoir étaient les suivantes : Le grand brasier autour duquel les orks se livraient à leur festin bruyant et primale, le sommet des miradors pour lesquels ce feu faisait office de projecteur, et enfin, les gardes qui passaient de temps à autre, torche en main. Cette dernière solution semblait être la seule réalisable. Alors que le Tau expliquait comment procéder à l’humain, le faible mur de bois éclata, sous le poids d’un ork propulsé. Aussitôt un second vint et se jeta sur le premier. Alors que le duel entre les deux orks reprit, une dizaine d’autre sortirent et les encadrèrent, encourageant chacun son favori. Les deux camarades se cachaient dans l’obscurité, derrière une pierre.

D’autres gardes approchaient. Ils allaient falloir leur voler leur torche, mettre le plant à exécution et fuir, et tout cela, dans la plus grande discrétion possible.


[ Tout ça me parait assez clair. Tu t’arrête après avoir traverser le village. ]
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Message  Edorak Mer 8 Avr - 10:29

Dissimulés derrière une habitation ork, Drihon et l’humain désigné par le commando, observaient la scène où ce livrait le terrible combat entre les deux colosses, ils devaient à tout prix trouvé rapidement un moyen de provoquer l’incendie. Le Tau réfléchissait acharnement afin de trouver une solution possible, pendant que l’humain observait un ork frappé violemment un autre au visage, le sang souillant les corps des autres qui les regardaient avidement, encouragent chacun leur congénère préféré. Mais pendant ce temps, Drihon observait chacune des sources de prométhéum, au nombre de trois, cherchant celle parfaite pour exécuter son objectif en toute discrétion. Il y avait le feu d’où plusieurs orks ce livraient un festin, ne ce soucient pas du combat qui venait de prendre cour, les cris couvrant les encouragements de leurs semblables. Il était donc impossible de prendre cette possibilité, vu le nombre important d’orks, ils seraient rapidement vus. Au sommet des miradors, il y avait bien entendu plusieurs feu, servant de projecteurs, mais cela leurs auraient pris un temps beaucoup trop long et la discrétion n’y était pas. Et finalement, il restait l’option la plus évidente : les torches que tenaient les gardes, ceux-ci ce dirigeant rapidement vers le combat ork. Il fallait agir rapidement, mais Drihon ne trouvait aucune solution. Il décida donc d’attendre, c’était ce qu’il leurs restaient à faire.

Lorsque les gardes arrivèrent sur le lieu, ils posèrent leurs torches sur le sol, et bondirent brusquement sur les deux orks, couvèrent de sang. Des cris de désapprobations surgirent des encourageants et certains s’en allèrent hâtivement vers le festin où ils racontèrent tout en riant de ce qui venait de ce produire. Certains décrivant de grands cercles dans les airs, afin de montrer à quel point le combat avait été féroce.

Drihon sentait l’humain bougé: il voulait récupéré la torche posé par les gardes. Mais le Tau lui indiqua qui fallait attendre, qu’ils se feraient ainsi rapidement repérés et tués. Lorsqu’ils eurent finalement le dessus sur les combattants, celui apportait l’ork menotté grossièrement avec de la corde, ramassa sa torche de prométhéum. Drihon eut un sentiment de découragement et il sentait que l’humain bouillait de rage. Maintenant que tout les autres orks furent partis enfin, sauf un seul à la stature beaucoup plus précaire que ses confrères, Onbarr et son coéquipier s’avancèrent plus près de l’autre garde et de la torche … Leur dernier espoir.

Quant à l’autre garde, il porta dans ses bras l’autre colosse assommé et lança de sa voix grave vers le frêle ork:

- Gravak’k, va donc ramassé ma torche.

Le dénommé Gravak’k ne dit rien, s’avança vers le prométhéum et le saisit paisiblement pendant que le garde marchait dans la pénombre. C’était le moment d’attaqué. Pendant que l’ork avait le dos tourné, Drihon survit discrètement de sa cachette et assena un violent coup derrière la courte tête de celui-ci, avec son fusil à impulsion, le sang éclaboussant le visage d’Onbarr et son arme. Le corps de Gravak’k tomba lourdement sur le sol, la torche glissant sur le sang des deux combattants. Ne voulant pas régné le doute dans la tribu en tranchant la gorge de l’ork lorsqu’ils le découvriront près de l’incendie, Drihon empoigna rapidement la torche et la posa sur le bois.

Ce ne prit que quelques instants avant que des flammes apparurent finalement sur les murs de la grotesque habitation. Il fallait faire vite maintenant et rejoindre les autres afin de traversé le camp en toute discrétion. Onbarr fit signe à l’humain de le suivre. Celui-ci ne ce fit attendre et suiva le Tau, jetant des regards successifs vers les orks qui commençaient à apercevoir de la fumée.

Cela ne prit qu’un bref moment avant qu’ils ne voient finalement les silhouettes des leurs coéquipiers. Lorsqu’ils arrivèrent finalement vers le groupe de Tau et d’humains, le commando l’ayant choisi comme volontaire malgré lui, lui fit un bref signe de tête, Drihon apercevant sur ses lèvres l’ombre d’un sourire.

- On doit y aller maintenant, ils n’y a plus personnes près du brasier, murmura le commando, ses yeux brillant sous la lueur de l’immense feu qui venait de débuté dans le camp.

Onbarr et le reste de l’équipe ce dirigèrent alors discrètement dans le blocus ork. Drihon était terrifié: et si son plan n’avait servit qu’à leurs perte ?

Mais ils ne furent jamais aperçut, les orks, apeurés devant l’immense brasier, jetaient rapidement de l’eau ( et du vin, ce qui ne faisait qu’empirer la fureur des flammes ) sur le feu.

À peine avaient-ils fait quelques mètres, que disparaissait derrière le camp en flamme, résultat d’un Tau.
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Message  YunYun Ven 24 Avr - 3:57

[Drihon Onbarr]

Astucieusement infiltré, Drihon Onbarr et la troupe avait traversé tout le camp ork, sans éveiller de soupçon, et se rapprochaient de plus en plus de l’objectif. Mais le nouvel obstacle ne tarda pas à apparaître. Un tronçon de route, très emprunté. Caché derrière un petit talus de terre boueuse, les Tau observaient à leur insu les nombreux orks du périmètre. Une vingtaine d’entre eux parlaient, buvaient, jouaient, sous une bâche de fortune, éclairé par quelque faible lampe au prométhéum, de l’autre coté de la route. D’autres, passaient à intervalle régulier sur les bords de la route, avançant mollement, torche en main, en regardant leur pied de lassitude. Enfin, quatre autres se trouvait devant un carrefour où la route se dispersait en nombreux autres, dans toutes les directions. Il pleuvait maintenant fortement.

Ces quatre orks là s’occupaient d’arrêter les véhicules de transport, parfois volé, parfois de manufacture ork, pour leur demander leur destination, puis ils leur accordaient un geste de main lent indiquant la direction à suivre, quelque fois accompagné d’un « là bas », « C’coté là ». La plupart des transports étaient vide, venant chercher du matériel, leur remorque étant couverte d’une bâche trouée pour protéger de la pluie les éléments fragiles. Un de ces camions s’arrêta brusquement sur la droite du groupe. Son chauffeur en sortit rapidement et vint uriner à l’arrière, tournant le dos à Drihon et ses compères. Son camion était plein.

A vingt mètres devant eux, après la route, s’élevait la première Manufacture. En continuant sur la route, une trentaine de mètre après le barrage se trouvait un entrepôt d’envergure, qui cachait les autres structures derrière lui.

- Peu importe où, il faut rentrer, murmura le chef de groupe.


[Knil Noivilbo]

Knil Noivilbo, tireur d’élite Tau, avait débarqué non loin du camp, avec deux confrères Tau et quatre commandos de l’UHL. Il avait atterri dans la même boue, sous la même pluie torrentielle, mais pourtant il semblait qu’il avait atterri à ce que l’on aurait pu appeler la porte de derrière. Des gardes longeaient toujours les murs des camps, torche à la main, à regarder leur pied plus que l’horizon, mais il y avait un petit dérobé. Entre deux pitoyables murs de bois, un petit renfoncement, qui descendait quelque peu. Son allure de sentier y contribuait déjà, mais la petite arche de bois et les deux braseros à ses extrémités était plus efficace qu’un écriteau criard pour dire « Par ici ! Venez ! ».

En patientant quelque instant de plus, Knil pu apercevoir les deux gardes adossé au mur de bois, qui devait sans doute garder cette entrée. L’un deux était à moitié somnolent, appuyé sur un bâton de bois, l’autre se curait les ongles. Cela aurait été trop beau, sans le mirador à sept ou huit mètres sur la gauche, ainsi qu’un grot, au pied de ce même mirador, en train de toucher à sa structure. Tous étaient armés.

- Il ne faut pas perdre plus de temps, il faut rentrer, et en silence.
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